LE FRENCH KISS DE NAZCA

Au Transbo, rien n'y fait, on aime les disques. 

Autant vous dire qu'on ne rate pas une occasion de fêter une sortie d'album ! Qui plus quand ils sont "made in Lyon" ;-)

Régulièrement, la programmation se pare donc d'un French Kiss pour célébrer ces heureux évènements.

Le principe ?
Un groupe à l'honneur, un nouveau disque à inaugurer, plein d'invités d'ici et d'ailleurs, et un concert plein d'émotions !

C'est au tour de NAZCA de jouer les maîtres de cérémonie, après Pethrol, Joe Bel, Charlie And The Soap Opera, Billie et bien d'autres.

A la rencontre du folk et des chants tribaux, Nazca donne à ses mélodies pop un aspect sauvage et organique : des percussions brutes, parfois guerrières, qui se heurtent aux voix cristallines, dont les harmonies savantes se mêlent au ukulélé et aux nappes sonores du clavier. Un métissage paradoxal entre douceur et puissance, une impression de vie, de « naissance », dont « Nazca » est l’interprétation en espagnol.

Nazca, c’est surtout l’alliance parfaite de la voix limpide de Juliette, de celle plus caractéristique de Zoé, des rythmes de guitares de Marc et des percussions saisissantes de Navid, qui sonne comme une évidence. Une formation intimiste, tant dans son rapport à la musique qu’au public.

Second EP du groupe, "Of Lights and Shades" raconte l'aventure rythmée d'un quatuor téméraire, où se mêlent sonorités tribales et voix puissantes. Nazca y revisite le style pop/folk de ses débuts, en y ajoutant profondeur et intensité pour agrémenter ce nouveau voyage entre ombre et lumière. 

Proposé par le Transbordeur et NASQUAW, avec le soutien de la Ville de Lyon dans le cadre de la Convention Lyon sur Scène. 

EN OUVERTURE DE SOIREE : LAUREN STUART

Lauren Stuart laisse aller son inspiration au fil des jours, des rencontres et des temps. Folk mélancolique, indie pop bucolique, envolées psychés, quoiqu’il arrive l’acoustique n’est jamais loin. Les ombres de Mark Oliver Everett, Neil Hannon, Stuart Murdoch ou Elliott Smith non plus. Seule compte la chanson, l’instant, l’écriture ; le voyage plus que la destination. Le mystère réside dans l’épure. Lauren Stuart nous raconte une histoire, son histoire – qui est aussi la notre – écrite à la première personne, artisan songwriter peaufinant ses mélodies sans relâche, dans un élan de sincérité rare et touchant.

Formation à géométrie variable construite autour de François Serin, Lauren Stuart a publié un premier album écrit, joué et enregistré en totale autarcie en 2007 (« the golden state of mind ») puis un second vinyle plus sombre et introspectif en 2013 (« the book of love »).

En 2015, la rencontre avec les popeux genevois de The Monkberry Monk Orchestra donne lieu à l’écriture d’un nouvel album plus coloré et aérien disponible depuis le 04 novembre 2016 sur le Pop Club Records/Echo Orange.