JOHAN PAPACONSTANTINO + EDOUARD BIELLE

Vendredi 17 nov. 2023
19:00
POP / ÉLECTRO
24.20 €
  • ouverture des portes
    19h00
  • Debut des concerts
    20h00
Club transbo
Debout - Placement libre

Proposé par La SAS Concerts en accord avec Radical Production.

Si Johan travaille comme un fou la musique, ses textes ne veulent pas trop se prendre au sérieux.

"J’aime bien que mon chat danse/J’aime bien sa nonchalance/Pendant que le monde avance...", chante-t-il dans la tubesque et hypnotique "Mon chat danse" en featuring avec Prosper. Dans "Rebondit", l’itinéraire d’une balle est un prétexte à le suivre dans une vibrante gourmandise musicale. Et "Ça m’époustoufle", où un personnage est ébloui par des fleurs qui poussent, est aussi un prétexte à jouer avec les sons. Alors qu’avec "Dans ma vie", Johan mélange, sur une mélodie encore une fois délicatement tissée, reggaeton et rumba alors que le chant de l’artiste belgo-colombienne Drea Dury, l’une des trois invité·e·s de l’album, nous fait décoller avec son chant aérien.

Dans ses textes, Johan Papaconstantino zoome sur le quotidien, sur tout ce qui fait la vie, la convivialité ("Beau temps" featuring Rad Cartier), la séduction (l’emballant "Glass"), la paternité ("Tata" et son bouzouki en feu), le réconfort ("Bricolo"), mais aussi la passion avec "Mode d’emploi" et sa géniale ritournelle baignée dans un délicieux groove.

Il faut l’entendre pour en être persuadé, il y a quelque chose de franchement irrésistible dans les chansons de Johan Papaconstantino, quelque chose qui vous donne envie de les écouter en boucle, sourire aux lèvres, le corps tendu par les rythmes récurrents de ces chansons qui vous amènent directement sur les pistes de danse. "Je pensais faire aussi des balades, je n’ai pas eu le temps..." Pour le prochain disque, Johan...

EDOUARD BIELLE

Edouard Bielle, artiste nostalgique des années 70, nous raconte ses histoires d'amour et sa vision caustique du quotidien sur une pop mélodieuse et poétique.

Très loin d’être un concept à bannir, celui de variété française post yéyé est pour lui une source d’inspiration intarissable. De Christophe à Etienne Daho, en passant par Michel Polnareff, sa musique mêle synthés vintage, textes légers et voix haut perchée dans une musique pop aux accents mélancoliques... mais pas trop.