
VITALIC + POLTERGEIST
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ouverture des portes19h00
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Debut des concerts20h00
Proposé par la SAS Concerts en accord avec Uni-T.
VITALIC revient avec un cinquième album, qui se déclinera en deux volumes.
« DISSIDÆNCE », dont le titre est déjà tout un programme, est un disque que le producteur décrit comme un retour aux sources de son identité sonore, en forme de clin d’œil revisité à l’énergie rock de ses premiers albums.
Le premier volet de « DISSIDÆNCE » est une sorte de condensé de ce que Vitalic sait faire le mieux en vingt ans de carrière, de la tornade crasse à se dévisser la tête sur le dancefloor à la pop-song amoureuse et synthétique pour s’évader.
Avec cet album, dont suinte entre les beats énervés et les séquenceurs en cavale la colère sociale et politique face à la pandémie actuelle, Vitalic puise dans son passé son goût pour les synthés qui déraillent, les nappes qui filent de travers, les refrains entêtants et les voix distordues, les rythmes lourds gavés de sexe et de sueur, mais surtout son obsession passionnelle pour la dance music.
« DISSIDÆNCE » Épisode 1 peut ainsi s’écouter comme un hymne à la fête, un voyage dans un temps qui aujourd’hui n’existe plus, mais qui, et cet album en est la preuve éclatante, va revivre de tous ses feux, BPM en cavale et rage intacte à l’appui.
POLTERGEIST possède cet étrange pouvoir d’attraction. Dès qu’Ari Girard parait, il se passe quelque chose. Pas que ce môme de tout juste vingt ans en impose physiquement sous sa coupe de Peaky Blinder et son allure d’enfant sage. Mais il capte la lumière et frappe les esprits. Va savoir pourquoi. Sa musique peut-être ? Ari semble avoir creusé des millions de microsillons pour les remixer à sa sauce électro. Dans son histoire de fantômes, il convie Joy Division, New Order, Talking Heads, The Cure, Can, Kraftwerk, Nine Inch Nails ou Jeff Mills. Au banquet des Poltergeist se croisent les corbeaux de la cold wave et les barbares du krautrock, les métallos du rock indus et les freaks de la techno. L’épicentre, c’est Berlin. Le mur, le Gotham interlope de Lou Reed, la trilogie de Bowie/Eno, les nuits toxiques des clubs underground… Seul avec sa guitare et ses claviers/machines, Poltergeist suggère tout cela par la puissance d’un set d’une heure tiré à quatre épingles. Ambiance lourde et dark, ample et majestueuse comme du Wagner.
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