INTERVIEW : BLACK LILYS 

 

Nous avons posé quelques questions au groupe Black Lilys, dont le nouvel EP est sorti le 7 avril dernier. Venez découvrir cet univers à l'occasion d'un nouveau French Kiss du Transbo, le mercredi 12 avril 2017.

 

Une voix douce et déchirante qui s’élève, des notes sombres s’échappant d’une guitare, ce mélange nous font plonger dans un univers très personnel : c’est l’essence même de Black Lilys. Une dark pop imposante jonglant entre les contrastes, entre douceur et puissance.

BLACK LILYS, déjà le nom, ça vient dʼoù ? 

On a pas réfléchi très longtemps à vrai dire, on voulait un nom qui sonnerait comme un contraste dans les oreilles. C'est aussi ce qui nous anime dans notre musique, passer d'une ambiance très douce qui s'envole, à une vague puissante qui donne envie de s'ouvrir et bouger son corps

 

Pouvez-vous nous faire un petit rappel de votre histoire et de vos activités? Vous vous êtes rencontrés où et comment ?

 C: j'ai rencontré Robin il y a 23ans... quand il est né.

R: nous sommes frère et sœur. Nous n'avions pas prévu de faire de la musique. Au départ c'était juste le meilleur moyen de nous retrouver et partager les émotions qui nous traversaient à ce moment là.

 

Quelles sont vos influences ?

Il y en a beaucoup.

Cocorosie, Sigur ros, The kills, Patrick Watson... Entre ambiance planantes ou organiques et sonorités rock. 

 

Donc, dans ce French Kiss du mercredi 12 avril, vous allez nous jouer votre nouvel EP, et il y aura des invités. On peut en savoir un peu plus sur les gens qui vous rejoindront sur scène ? 

Notre Ep "Blood Ties" est sorti la semaine dernière. Ce French Kiss c'est un peu le commencement, l'aboutissement d'un an de travail sur des nouvelles chansons qui seront sur notre album "Boxes" qui sortira en octobre prochain. Nous sommes très excités, d'autant plus qu'il y a aura de très belles personnes sur cette scène qui nous font l'honneur de nous rejoindre. 

Iolo de Fingers and cream, une belle rencontre bretonne de tournée.

Notre ami Ange avec son projet Wryboy, Martin Luminet et ses mots doux, Nazca, Buridane mais aussi de nombreux amis qui ne sont pas musiciens... On a toujours rêvé de pouvoir partager notre musique sur scène avec ceux qu'on aime même si la musique n'est pas forcément leur passion. Ce soir, c'est complet et c'est à la maison. Les conditions sont parfaites pour relever le défi n'est ce pas ?

 

Vous l’avez enregistré où et quand ? 

On a enregistré dans différents endroits avec notre label, la ruche.

On a commencé il y a un an nos maquettes. Nos morceaux n'étaient encore que des guitare-voix. On a surtout voulu prendre le temps de trouver les sonorités exactes qu'on entendait sur nos histoires.

 

Et du coup que diriez-vous qu'il va se passer pour vous dans les années qui viennent ? 

On ne sait jamais ce qu'il peut se passer et heureusement sinon on s'ennuierait et surtout on écrirait plus beaucoup de chansons. C'est important de se poser des questions.

 

Que peut-on vous souhaiter pour lʼavenir ? 

L'élection dans quelques jour d'un président humaniste et écologiste 

 

Continuer à vibrer avec les gens et dans ce que l'on fait. Et puis, voyager  bien sur.