JEU. 30
juin. 2016
> 19H00

 

GENRE : NU-SOUL / POP

TARIF : GRATUIT SUR RESERVATION / 5€ AU GUICHET

OUVERTURE DES PORTES > 19H00

 

 

SUMMER SESSIONS x RTU LE GRAND MIX 89.8 FM

 

ESTERE + ARIEL ARIEL 

 

 

APERO MEDIA A PARTIR DE 19h00
Profitez du studio RTU en direct-live sur la terrasse du Transbo, avec l'émission quotidienne LE GRAND NAWAK en version publique et hors-les-murs.

ESTERE
Accompagnée de sa meilleure amie Lola, une MPC 1000, la beatmakeuse et chanteuse Estere a déja enthousiasmé ses terres neo-zélandaises sur les ondes comme sur scène. C'est dans sa chambre, en pyjama, qu'elle compose et produit ses perles, mélange de basse, de synthé, de batterie, de guitare, d' harmonies vocales, de clavier, de sifflets, d'applaudissements, de kazoo, et plein d'autres choses fantasques, dont le groove inspiré nous porte vers un univers classieux chargé de finesse et de légerté. Univers musical qualifié par Estère elle-même d'Electric Blue Witch-Hop. 
En mars 2015, Estère sort son premier album éponyme sur le label français PRØSPECT, petit frère du label NØ FØRMAT!, dédié à l'émergence de jeunes artistes. 

ARIEL ARIEL
Après avoir bourlingué avec Babe et Pendentif, le Bordelais Ariel Tintar prend les rênes de sa propre épopée sucrée-salée. Entremêlant formations parallèles et univers très différents, le groupe Ariel Ariel réunit sous son arche le chef d'orchestre Ariel Tintar, la chanteuse pop et claviériste Blandine Millepied, le bassiste Louis Gaffney, fan de soul et rencontré sur les bancs du Conservatoire, et le batteur Swann Vidal, adepte de rock progressif et de jazz. 
Côté mélodie, Ariel rend hommage à ses disques de chevet : la rythmique afro-pop des Sud-Africains John Wizards, les chansons atmosphériques de l'Argentine Juana Molina ou encore Paul Simon - époque Graceland. Baptisé Mwen mwenti soit “J'ai menti” en créole, son premier ep de pop bigarrée et introspective restitue dans ses textes des “bribes de mémoire d'une langue entendue enfant et francisée par volonté d'élocution et de compréhension”. Né à Fort-de-France, Ariel Tintar renoue ainsi sur le tard avec sa culture maternelle, notamment grâce à des auteurs comme Aimé Césaire ou Edouard Glissant. Evoquant la culture antillaise dans son ensemble sur Mon île, la dernière phrase nous ramène au titre même du disque : “Je ne l'ai jamais vue pourtant je t'en parle, car quand je t'en parle, tu me regardes”.

 

Proposé par RTU et le Transbordeur